Le terme rubrique s’impose ici puisque tous les tableaux qui y sont / seront présentés n’entrent dans aucune des collections créées.
Comme je l’explique dans la présentation qui les accompagne, ils se « suffisent » à eux-mêmes, s’émancipent de toute règle fondatrice d’une collection et, de ce fait, sont parfaitement « indépendants ». (À moins que des œuvres à venir ne viennent me contredire en s’associant à ces pionniers d’un nouveau genre J )
Je pense en particulier à celui intitulé Beach Art : Le surfer, apparu au moment où je me lance, après le « Tree-Art »,tiré des arbres, dans le Beach-Art !
J’ai imaginé ce nom de Beach Art en créant mes premiers tableaux issus des décors infinis qu’offrent les bords des océans. Bien sûr, à la différence du bien connu et bien installé Street Art, il ne s’agit pas d’imprimer in situ le travail de l’artiste (sur le décor choisi). Car si cette approche est parfaitement concevable dans un milieu urbain, conçu par l’homme, qu’elle s’y intègre avec bonheur, au point même d’être, me semble-t-il, indispensable… laisser quelque marque que ce soit, dans un décor naturel, conçu hors l’esprit de l’homme, me paraît plus discutable. Je n’ai guère d’affection pour ceux qui, victimes irréfléchies de leur ego, tailladent l’écorce des arbres ou griffent les rochers pour laisser leur nom à la postérité. Alors, laisser une empreinte plus lourde encore…
Etonnantes créations « naturelles », de sable et de pierre, d’eau et de mousse
Du fait même de son ouverture à la création, cette galerie sera appelée à s’enrichir davantage que les autres, au fil de nouvelles productions, mais aussi au fil du temps, à son rythme propre.
Ouverte ce jour avec trois tableaux seulement, votre visite sera relativement brève. Pour autant, je serai, comme chaque fois, heureux de recevoir vos commentaires… et d’y répondre.
Pascal Vatinel
